mon journal pas intime

J’ai acheté un « split » d’occasion (sur le « petites annonces » Allemand), et j’ai voulu tester un peu tout: les bottes, les fixations, le mode « split » et puis de monter les peaux de phoques. Et là, surprise: le caoutchouc du bout arrière qui accroche à l’arrière du ski casse nette à la première mise en tension. Je comprends que le précédent propriétaire a gardé ce split longtemps dans sa cave: le matériaux était vieux, mais le reste est plutôt bien conserver.

Je me décide de réparer les attaches, parce que des peaux, parce que « je tiens à ma peau ». Ah non, parce que ça coûte cher. J’achète sur internet un kit qui n’est pas exactement celui d’origine de ce que j’ai, et je me dis que je ferais de la couture pour le rattacher. Finalement, c’était à riveter.

J’ai enfin fini mon étagère-LED pour mon bureau. Les plans étaient finis depuis longtemps. J’ai dû abandonner l’idée de payer un circuit imprimé: les « hautes tensions » (les 230V du secteur) ne sont pas gérable avec des circuits imprimés standards (il faut des pistes en cuivre épaisses (rare et cher)). J’ai tout de même réussi à garder mon « dimmeur » de LED. J’en suis pas parfaitement satisfait (quand j’allume et que le potentiomètre est au minimum, la LED ne s’alume pas!), mais globalement, c’est beau, ça marche.

Je n’ai acheté que les 2 plus grandes planches et découpé le reste dans les planches déjà dans la cave. Pareil pour la visserie, j’avais déjà tout en stock. J’aurai pu trouver un interrupteur dans la cave… mais j’ai tout acheté, ça m’a couté 40€ de matériel électrique. Le plus cher a été la LED: 50€ pour les presque 2m, 22€ pour le transformateur/dimmeur et 24€ pour le profil/diffuseur. J’ai également ajouté un switcheur USB3 et un hub USB3 pour pouvoir connecter facilement mon ordi portable professionel pour mes journées télétravail.

J’aurai tout de même pousser un peu plus mon design 3D en avance. J’ai du démonter les planches pour rajouter certains passage de cables (cacher le cable entre les 2 hauts-parleurs). Quand on fait ça dans le salon, ça donne ça:

Reste le porte guitare à replacer. Je ne sais pas encore si j’enlève le porte « petite » guitare, ou si je trouve une autre place.

Aujourd’hui, j’ai pris mon temps, mais je suis arrivé avant 15h il me semble dans le canal. Je suis resté jusqu’à 17h.
Il faisait maximum 11°C (d’après « le wetterrückblick » de wetter.de), et j’avais trop chaud dans ma combinaison hivernale (6mm) sur mon vélo à l’aller. Beaucoup moins au retour!
Il n’y avait pas de courant, mais je suis arrivé assez facillement à aller jusqu’au pont. Bon, aucun demi-tour complêtement réussi, mais plusieurs trajet de pontons « 1860 » à pontons « NaturFreunde ». Dont le premier à été bloqué par une branche en travers du canal (j’ai crié au sabotage! Et j’ai nettoyé le canal de ces encombrants…).
Ma montre ma dit que j’avais perdu 6 mois d’âge corporel 😉
Les gens m’applaudissent toujours quand j’arrive à faire plus que 10m.

Nous avons fait notre première randonnée avec nos skis (on avait déjà essayer en les louant) après la grosse chute de neige (40cm en 1 jour à Munich). Bon, on a laisser le premier jour (un samedi) passer: il y avait trop d’embouteillage et d’inconnu sur les risques d’avalanches.

Mais le dimanche, on est allé à Kreuzecke. Le restau d’altitude devait être ouvert, mais pas les remontées mécaniques. Nous avons vu beaucoup de canons à neige, de dameuse de piste, d’autres randonneurs… mais pas de bons plats chaud, le restaurant étant fermé.

Mon appli « outdooractive » buggait, donc j’utilisait Google Maps: stupide, puisque Google ne connait pas les chemins de randonnées, encore moins les randonnées à ski. J’ai aussi voulu éviter les pistes (à cause du bruit des canons à neige, mais aussi pour ne pas avoir l’impression de faire parti du troupeau), mais finalement, on a rejoint la piste de tout le monde, et c’était pas trop grâve, surtout quand c’est dans les bois.

J’ai été assez refroidi par le fait que la descente dans 60cm de poudreuse peut être aussi fatiguant que la montée : on avance pas!

J’étais donc au final plutot content que les pistes étaient en préparation ou que d’autres soient passé avant nous: on a pu descendre bien vite.

Vers 11h, les enfants m’ont appelé: « Papa, tu peux nous apporter des pelles à neige, on est en train de faire un igloo ». J’ai tout de suite dit oui… mais faut d’abord trouver les pelles et surtout mon vélo!

Puis faut attacher les pelles sur le vélo. J’avais déjà monté les pneus à clou pendant la semaine. Mais même avec ça, c’est pas facile de rouler tout droit sur la route mal dégagée. Notez les pagaies de kayak détournées en pelle à neige 😉

L’air de rien, avec ce vieux vélo, j’arrive à rouler plus vite que les TGV prévu à Munich ce WE: tous les trains ont été annulés (des arbres sur les rails). Je suis plus résilient que les trams, les S-bahn (qui ont repris un service dégradé dans les tunnels du centre-ville), les trains donc, mais aussi les avions (détournés sur Francfort).

Grâce à la localisation du téléphone de Léona, il n’a pas été trop difficile de la retrouver. Mais j’ai bien pu remarquer qu’il n’y a qu’une vraie solution pour rouler à vélo: rester sur la route. Les pistes cyclables et les trotoirs ne sont pas déneigés en priorité!

La neige ne collait pas assez pour découper des « briques de neige », donc j’ai continué la technique des enfants : faire un gros tas de neige qu’on creusera par en-dessous. Voici la photo finale:

L’igloo était assez grand pour qu’on puisse y rentrer à trois et se tenir assis! Et voici une photo de l’intérieur de l’igloo.